Diabétiquement vôtre - Bertrand Burgalat

Le diabète : un fléau qui tue plus que sida et malaria réunis.
400 millions de malades toutes catégories.
15 % des dépenses de santé en France et aux États-Unis.
Depuis la découverte de l’insuline il y a près d'un siècle, peu de progrès et beaucoup d’approximations.

Pourquoi ce désastre ?
Bertrand Burgalat répond à la question de façon implacable. Mêlant récit autobiographique, enquête et témoignages, Diabétiquement vôtre décrit le sucre triomphant, les sociétés submergées et les vies dévastées.

Iconoclaste et rigoureux, un travail magistral, d’utilité publique.

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Revue de presse

« Une enquête percutante. »
Patrick Williams, Elle

« Même pour les non-diabétiques, ce livre est passionnant. »
Anne-Sophie Lapix, France 5 « C à vous »

« Un excellent livre. »
Marc-Olivier Fogiel, RTL Soir

« La force de son livre, Diabétiquement vôtre, tient avant tout à sa dimension autobiographique, qui réussit à ne jamais être indécente. »
Jérôme Dupuis, L'Express

« Zéro pathos, mais un humour et une autodérision salutaires. »
Les Inrockuptibles

« Bertrand Burgalat surprend tout le monde avec son livre choc sur le diabète. »
Catherine Schwaab, Paris Match

« Une vrai enquête digne d'un journaliste d'investigation, un plaidoyer aussi pour qu'on se penche d'avantage sur le diabète. »
Vincent Josse, France Musique

« Un récit qui est aussi le procès en règle d'une société indifférente à l'un des maux du siècle. […] Le compositeur, musicien et producteur Bertrand Burgalat frappe un grand coup. Avec pudeur et justesse. »
Nicolas Madelaine, Les Echos

« Son livre n'est pas qu'un témoignage autobiographique sur son diabète, c'est aussi une enquête. […] Il échappe largement à la catégorie "document". »
Arnaud Viviant, Transfuge

« Un livre qui frappe et qui touche, entre douleurs personnelles, saines colères et volonté de faire bouger les choses. »
Jean-Marc Le Scouarnec, La Dépêche du Midi

« Dans son livre Diabétiquement vôtre, le musicien se dévoile à travers une maladie qui touche 400 millions de personnes. »
Ludovic Perrin, Le Journal du Dimanche