Marco Malvaldi, "Obscure et céleste"

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Marco Malvaldi, "Obscure et céleste"

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Florence, 1631. La guerre et la peste noire ravagent l'Europe. Le grand-duc de Toscane envoie le chanoine Cini enquêter sur le couvent San Matteo d’Arcetri, qui abriterait des rencontres galantes. Sur place, Cini retrouve son maître Galilée venu pour se rapprocher de ses filles cloîtrées. Les deux hommes enquêtent sur la mort suspecte d'une jeune moniale.

Alors que l'Europe est déchirée par la guerre, la peste fait rage à Florence en dépit des prières et des processions. Croyant pouvoir apaiser le courroux de Dieu, le grand-duc de Toscane charge le chanoine Cini de s'assurer que le couvent de San Matteo d'Arcetri n'abrite pas, comme on le murmure, des rencontres galantes.

L'homme y retrouve Galilée, son ancien maître, installé depuis peu dans les environs pour se rapprocher de ses deux filles, cloîtrées dans ce monastère. L'aînée met au propre le Dialogue sur les deux grands systèmes du monde, dont la parution prochaine suscite une grande nervosité dans les milieux ecclésiastiques.

C'est alors qu'on découvre le corps sans vie d'une jeune moniale au pied du beffroi renfermant la lunette astronomique que Galilée a offerte au couvent. Suicide ou meurtre ? Dans une atmosphère de tension extrême, le maître et son ancien élève s'emploient à résoudre ce mystère.

Une intrigue criminelle menée tambour battant, qui met en scène un Galilée fort malicieux dans un XVIIe siècle marqué par les enjeux de pouvoir et une Inquisition toujours menaçante.