Santiago Diaz, "Le bon père"

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Santiago Diaz, "Le bon père"

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A Madrid, Gustavo Fonseca est retrouvé près du corps de son épouse et du couteau utilisé pour son assassinat. Désigné coupable, il est condamné à une lourde peine de prison. Un an après, Ramon, son père, kidnappe et menace de tuer un avocat, un juge et une étudiante ayant un lien avec cette condamnation, en les accusant d'avoir été soudoyés. L'inspectrice Indira Ramos enquête sur cette affaire.

Jusqu'où un père peut-il aller pour sauver son fils injustement accusé d'assassinat ?

Madrid. À la suite d'un appel téléphonique, la police découvre un homme couvert de sang, prostré non loin du corps de sa femme dans leur maison d'un quartier résidentiel. Tous les indices l'incriminent. Jugé coupable, Gonzalo Fonseca écope d'une lourde peine de prison.

Un an plus tard, Ramón Fonseca, le père de Gonzalo, se rend à deux policiers. Il affirme être le ravisseur de trois personnes portées disparues. Leur point commun : elles ont toutes un lien avec la condamnation de son fils. L'une est l'avocat qui a défendu Gonzalo, la deuxième est la juge qui l'a envoyé en prison ; quant à la troisième personne, elle a témoigné contre lui lors de son procès.

Convaincu que tous trois ont été soudoyés, le vieil homme donne trois semaines à la police pour retrouver le véritable assassin de sa belle-fille et libérer Gonzalo. Sans cela, il les tuera tous, l'un après l'autre.

Le capitaine Indira Ramos, à l'éthique aussi tenace que sa phobie des microbes, n'aura que quelques semaines pour résoudre l'affaire avant que le « bon père » ne mette son plan macabre à exécution.

Scénariste pour la télévision espagnole, Santiago Díaz signe avec Le Bon Père son deuxième roman. Acclamé par les lecteurs et la critique, il fait maintenant partie des grands noms du polar espagnol.