Michal Bernard, "Les grandes énigmes de la seconde guerre mondiale"

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Michal Bernard, "Les grandes énigmes de la seconde guerre mondiale"

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La disparition de Hitler, Qui a tué Darlan?, L'affaire Toukhatchevski, Les armes de la nuit, L'Orchestre Rouge, La République Rouge des maquis, Le testament secret de Roosevelt.

DESCRIPTION DU LIVRE
1 - 13 mars 1943 : pour quelques généraux allemands, Hitler est mort. Leur complot vient de réussir … Dans son avion se trouvent deux bombes à retardement ayant la forme de bouteilles de cognac… par Claude-Paul Pajard
2 - Alger, 24 décembre 1942. L'amiral Darlan est assassiné par Bonnier de la Chapelle. Acte Isolé ou acte téléguidé ? Et, dans ce cas, par qui ? par Michel Goué
3 - Pourquoi Staline a-t-il décapité l'Armée Rouge à la veille de la Seconde Guerre Mondiale ? C'est la ténébreuse affaire Toukhatchevski, parJean Martin-Chauffier
4 - Appareil X, appareil Y, faisceau directionnel ?… Tous les dessous de la guerre des armes de la nuit, par Georges Filliou
5 - Pendant 100 jours, en 1944, une république populaire a eu toutes les chances de naitre en France. Puis, tout est rentré dans l'ordre. Pourquoi ? Comment ? par Marc Edouard
6 - Staline avait un espion chez Goering. C'était l'un des solistes du rocambolesque Orchestre Rouge, parClaude de Chabalier
7 - Quelques jours après Yalta, et juste avant sa mort, Roosevelt a fait ses confidences à Geneviève Tabouis, l'une des rares familières françaises de la Maison Blanche, pendant la guerre. Ce testament politique éclaire d'un jour nouveau l'énigme de Yalta. Enfin, le 11 février 1945, à Yalta, Staline et Roosevelt se partagent le monde. Une question se pose alors. Pourquoi Roosevelt a-t-il, comme certains l'ont affirmé, capitulé devant Staline en lui offrant notamment la moitié de l'Europe ? parGeneviève Tabouis
8 - La plus grande énigme de la Seconde Guerre Mondiale est, sans contestation possible, celle de la disparition de Hitler. Comment est mort le Führer ? Qu'est devenu son éventuel cadavre ? Notre enquête historico-policlère fait le point, par Édouard Bobrowski