Tags
Language
Tags
March 2025
Su Mo Tu We Th Fr Sa
23 24 25 26 27 28 1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 31 1 2 3 4 5
Attention❗ To save your time, in order to download anything on this site, you must be registered 👉 HERE. If you do not have a registration yet, it is better to do it right away. ✌

( • )( • ) ( ͡⚆ ͜ʖ ͡⚆ ) (‿ˠ‿)
SpicyMags.xyz

Olivier Babeau, "Le nouveau désordre numérique: Comment le digital fait exploser les inégalités"

Posted By: TimMa
Olivier Babeau, "Le nouveau désordre numérique: Comment le digital fait exploser les inégalités"

Olivier Babeau, "Le nouveau désordre numérique: Comment le digital fait exploser les inégalités"
2020 | ASIN: B08F2MGYXH | Français | EPUB | 272 pages | 0.2 MB

La crise sanitaire du printemps 2020 aura consacré le triomphe du numérique.
Les nouvelles technologies portaient l’espoir d’un monde plus égalitaire.
L’espoir est cruellement déçu.
Il y a d’un côté ceux qui sont tout, de l’autre ceux qui ne sont rien.
On pensait que le numérique allait libérer les entreprises. En réalité, il assied la domination de quelques titans capables d’imposer leur loi.
On pensait qu’il allait mêler les classes sociales en donnant à chacun sa chance. Hélas, il sépare les élites technophiles des populations déconnectées et sans avenir.
On pensait qu’il allait renforcer la démocratie. Que voyons-nous ? Elle n’a jamais été aussi faible, prise en étau entre les dictatures ultramodernes et les revendications de minorités qui en sapent les bases.
Si nous n’agissons pas, le numérique va détruire la civilisation.
Nous devons changer nos institutions, maîtriser le pouvoir prométhéen donné par les technologies, redonner à la société son équilibre et aider l’homme à trouver sa nouvelle place.

Olivier Babeau est le président fondateur de l’Institut Sapiens, un laboratoire d’idées dédié à la réflexion sur la place de l’être humain dans le monde technologique qui naît. Il s’exprime régulièrement dans les médias et a écrit de nombreux ouvrages, dont Éloge de l’hypocrisie (Cerf, 2018).