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    Jean Dutourd, "La chose écrite"

    Posted By: TimMa
    Jean Dutourd, "La chose écrite"

    Jean Dutourd, "La chose écrite"
    2013 | ASIN: ‎ B00K194C4K | Français | EPUB | 576 pages | 0.6 MB

    Dans ce livre, Jean Dutourd oublie ses contemporains en relisant les auteurs du passé : Celui qui a pour principale lecture celle des auteurs morts n'a pour amis, voire pour interlocuteurs, que des hommes supérieurs. Il jubile avec La Vie de Rancé, de Chateaubriand : C'est mystérieux et savant comme les derniers quatuors de Beethoven." Il salue Paul-Jean Toulet, à propos des Oeuvres complètes : " Il "enfonce" Gide, Valéry, et quelques autres mastodontes. " Il se réjouit en plongeant dans le journal de Boswell. Et réagit pareillement en ouvrant l'édition en trois volumes du Journal littéraire de Léautaud, Volupté de Sainte-Beuve, les romans de Kipling, la Vie de Rossini de Stendhal, Gobineau, Maurice Sachs, Conan Doyle, Vialatte ou Bernanos. On oublie trop souvent que Dutourd, célèbre pour sa causticité et ses tableaux de moeurs, a écrit l'un des plus beaux livres de critique littéraire du siècle, L'Ame sensible. Avec Domaine public, qui prend la suite d'un autre recueil de chroniques littéraires, Contre les dégoûts de la vie, il instruit, amuse et régale son lecteur. C'est un merveilleux professeur qui donne envie de partager ses plaisirs.

    Quatrième de couverture
    «Vers l'âge de huit ans, je fis deux découvertes capitales : que les grandes personnes mentaient sans arrêt, mais que les livres rétablissaient la vérité. Les grandes personnes, par leurs leçons et leurs punitions, s'acharnaient à me faire voir le monde tel qu'il n'était pas. Les livres me le montraient tel qu'il était, c'est-à-dire comme je le voyais moi-même.

    En outre, ils étaient délicieux car ils mettaient la vérité en musique. La vérité était du Mozart avec Voltaire, du Wagner avec Proust, du Beethoven avec Balzac, du Schubert avec Stendhal.

    La passion du papier imprimé ne m'a jamais quitté, et je dirais presque comme Montesquieu : "L'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé."»