Julien Gracq, "Un balcon en foret"
Publisher: Autrement dit | 2009 | ISBN: 2874450480 | French | MP3 192 Kbps | Lenght: 05:32:00 | 462.5 Mb
Publisher: Autrement dit | 2009 | ISBN: 2874450480 | French | MP3 192 Kbps | Lenght: 05:32:00 | 462.5 Mb
Le récit se déroule entre Meuse et Belgique à la «maison-forte» des Falizes, avant-poste isolé dans la forêt ardennaise. En octobre 1939, l'aspirant Grange en prend le commandement jusqu'après l'attaque allemande de 40. Le temps qu'«une foutue armée devienne une armée foutue»!
Le livre se construit sur de très subtils équilibres. Ce n'est ni la guerre ni la paix, ce n'est ni une vraie maison, ni la totale nature, c'est un «théâtre de guerre», un balcon naturel qui domine la vallée de la Meuse. Tout y est suspens. C'est aussi une belle histoire d'amour entre Grange et Mona.
Julien GRACQ 1910-2007, de son vrai nom Louis Poirier, est un écrivain français.
Si «Au château d'Argol», son premier roman, fortement influencé par le romantisme noir et par le surréalisme, avait attiré l'attention d'André Breton, c'est avec «Le Rivage des Syrtes», et surtout le spectaculaire refus de son auteur de recevoir le prix Goncourt en 1951, que Julien Gracq s'est fait connaître du public. Reconnaissance paradoxale pour cet écrivain discret qui s'est effacé derrière une oeuvre protéiforme et originale, en marge des courants dominants de la littérature de son époque (voire en opposition), qu'il s'agisse de l'existentialisme ou du nouveau roman. Après avoir abandonné l'écriture de fiction, Julien Gracq publie à partir de 1970 des livres qui mélangent bribes d'autobiographie, réflexions sur la littérature et méditations géographiques. Source biographie: Wikipédia
Quelques temps avant sa mort il avait confié à «Autrement dit» le soin d'enregistrer son oeuvre maîtresse, «Un balcon en forêt», tant la lecture de «Sylvie» de Gérard de Nerval par Alain Carré l'avait touché.
Le lecteur :
Alain Carré, bien connu des auditeurs de France Culture, qui interprète dans cette collection entre autres «Sylvie tirée des Filles du feu», (primé par Notes bibliographiques, Bibliothèques et Culture pour tous) nous entraîne, de sa voix profonde et chaude, dans ce roman de l'attente, de l'amour et du suspens… et en révèle toute la densité.
«Le timbre vocal et la sensibilité du disant servent l'oeuvre avec beaucoup de présence sans jamais l'asservir!» Le Vif-L'Express.
«Une présence immédiate du lecteur, un grand pouvoir évocateur» M&M.
Si «Au château d'Argol», son premier roman, fortement influencé par le romantisme noir et par le surréalisme, avait attiré l'attention d'André Breton, c'est avec «Le Rivage des Syrtes», et surtout le spectaculaire refus de son auteur de recevoir le prix Goncourt en 1951, que Julien Gracq s'est fait connaître du public. Reconnaissance paradoxale pour cet écrivain discret qui s'est effacé derrière une oeuvre protéiforme et originale, en marge des courants dominants de la littérature de son époque (voire en opposition), qu'il s'agisse de l'existentialisme ou du nouveau roman. Après avoir abandonné l'écriture de fiction, Julien Gracq publie à partir de 1970 des livres qui mélangent bribes d'autobiographie, réflexions sur la littérature et méditations géographiques. Source biographie: Wikipédia
Quelques temps avant sa mort il avait confié à «Autrement dit» le soin d'enregistrer son oeuvre maîtresse, «Un balcon en forêt», tant la lecture de «Sylvie» de Gérard de Nerval par Alain Carré l'avait touché.
Le lecteur :
Alain Carré, bien connu des auditeurs de France Culture, qui interprète dans cette collection entre autres «Sylvie tirée des Filles du feu», (primé par Notes bibliographiques, Bibliothèques et Culture pour tous) nous entraîne, de sa voix profonde et chaude, dans ce roman de l'attente, de l'amour et du suspens… et en révèle toute la densité.
«Le timbre vocal et la sensibilité du disant servent l'oeuvre avec beaucoup de présence sans jamais l'asservir!» Le Vif-L'Express.
«Une présence immédiate du lecteur, un grand pouvoir évocateur» M&M.