Tags
Language
Tags
June 2025
Su Mo Tu We Th Fr Sa
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30 1 2 3 4 5
    Attention❗ To save your time, in order to download anything on this site, you must be registered 👉 HERE. If you do not have a registration yet, it is better to do it right away. ✌

    ( • )( • ) ( ͡⚆ ͜ʖ ͡⚆ ) (‿ˠ‿)
    SpicyMags.xyz

    L'Empire de la passion

    Posted By: bpesti

    L'Empire de la passion
    Language : french | DivX 5.0 | 901 Mb | 1:40 | 1118 kb/s | 576x352 | 128 kb/s (64/ch, stereo) CBR 48000 Hz


    L'Empire de la passion
    Titre original : Ai no borei
    Film français, japonais. Genre : Drame
    Durée : 1h 40min. Année de production : 1978

    Interdit aux moins de 16 ans


    Réalisé par Nagisa Oshima
    Avec Tatsuya Fuji, Kazuko Yoshiyuki, Takahiro Tamura

    En 1895, une magnifique jeune femme répondant au nom de Seki vit dans un village japonais en pleine montagne. Mariée à un conducteur de pousse-pousse, elle est insatisfaite sexuellement. Lorsqu'elle rencontre un jeune homme revenu du service militaire, elle décide de supprimer son encombrant mari…

    Il ne faut pas se méprendre sur le titre français qui fait penser à une suite de L’empire des sens (1976), énorme succès de scandale du cinéaste. Bien sûr, il est aussi question d’un couple dévoré par le désir, les entraînant irrémédiablement vers leur perte. Mais le ton et le style du métrage sont totalement différents. Ici, pas de provocation ni de scène de sexe explicite, rien d’autre qu’une poésie de chaque instant.
    Nagisa Oshima a obtenu à Cannes le prix de la mise en scène pour cet opus et on comprend rapidement pourquoi. Chaque plan est d’une beauté touchant au sublime grâce à une photographie très travaillée, tandis que la musique utilisée avec parcimonie permet de mieux souligner l’étrangeté de nombreuses scènes.

    Il est rare de trouver des œuvres qui mêlent à la fois beauté esthétique irréprochable et profondeur thématique. Cet Empire de la passion y parvient haut la main, faisant de cet opus l’un des meilleurs du cinéaste.







    Please, no mirror.