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    Douze hommes en colère

    Posted By: bpesti

    Douze hommes en colère
    634,2 Mo | 1957 | French DivX | Runtime: 01:32 | N & B | French | subtitles : no subtitles | mp3, 44100 Khz | DivX 3 Low-Motion | 416x304 pixels | FPS: 25



    Henry Fonda : L'architecte (juré n°8)
    Lee J. Cobb : Le patron capitaliste (juré n°3)
    Ed Begley : Le vieux raciste (juré n°10)
    Jack Warden : L'amateur de base-ball (juré n°7)
    Martin Balsam : Le meneur de débats (juré n°1)
    Jack Klugman : Le prolétaire (juré n°5)
    John Fiedler : L'employé de banque (Juré n°2)
    E.G. Marshall : Le courtier en bourse (Juré n°4)
    Ed Binns : Le peintre en batiment (Juré n°6)
    Joseph Sweeney : Le viel homme (Juré n°9)
    George Voskovec : L'immigré (Juré n°11)
    Robert Webber : Le publicitaire (Juré n°12)
    John Savoca : L'accusé

    Un adolescent, accusé du meurtre de son père, risque la chaise électrique si, à l'issue du procès, les douze membres du jury sont unanimes quant à sa culpabilité. Dans la salle des délibérations, onze des jurés déclarent l'accusé coupable. Un seul d'entre eux (Henry Fonda) juge les preuves insuffisantes et est intimement convaincu de l'innocence du jeune homme. Il n'a que quelques heures pour en persuader ses pairs…

    Sidney Lumet inaugurait brillamment sa carrière de réalisateur avec ce film qui étonne encore aujourd'hui par l'ingéniosité de sa mise en scène. En effet, "12 hommes en colère" se déroule principalement dans la même pièce et le suspense y est digne du plus terrifiant des thrillers.
    C'est Fonda, enthousiasmé par le script écrit par Reginald Rose pour la télévision (et mis en scène par Franklin Schaffner), qui entreprit de produire cette adaptation au cinéma et choisit lui-même le réalisateur, s'attribuant au passage le rôle principal (qu'il considérera plus tard comme l'une des plus belles performances de sa carrière).
    Succès critique (trois nominations aux Oscars en 1957 dont meilleur film et scénario) mais échec commercial, cette brillante étude psychologique a conservé le même pouvoir d'attraction à travers les décennies, son message étant plus que jamais d'actualité.





    Please, no mirror.