Ian McDonald, "India 2047", 2 tomes

Posted By: TimMa

Ian McDonald, "India 2047", 2 tomes
2013/2016 | ISBN: 2070453618 | Français | EPUB | 1344 pages | 3 MB

Tome 1 : Le Fleuve des dieux
Tous les Hindous vous le diront, pour se débarasser de ses péchés, il suffit de se laver dans les eaux du Gangâ, dans la cité de Vârânacî.
Et, en cette année 2047, les péchés ce n'est pas ce qui manque : un corps aux ovaires prélevés glisse doucement sur les eaux du fleuve ; des intelligences artificielles se rebellent et causent de tels dégâts qu'une unité de police a été spécialement créée pour les excommunier.
Gangâ, le fleuve des dieux, dont les eaux n'ont jamais été aussi basses, se rue vers un gouffre conceptuel, technologique, évolutionnaire - ou peut-être tout cela à la fois.
A travers le kaléidoscope de neuf destins interconnectés, Ian McDonald dresse le portrait d'une Inde future, mais aussi d'une Terre future, où tout n'est que vertige. Souvent considéré outre-Atlantique et outre-Manche comme le roman de science-fiction le plus important des quinze dernières années, Le Fleuve des dieux a reçu le British Science Fiction Award et a été finaliste du prestigieux prix Hugo.

Tome 2 : La petite déesse
En 2004, Ian McDonald publiait en Angleterre un roman d’une ambition peu commune dans le paysage de la science-fiction contemporaine, Le fleuve des dieux, un livre aux multiples intrigues situées dans une Inde de 2047 balkanisée et soumise à une sécheresse sans précédent. Le prix de la British Science Fiction Association a récompensé ce roman et son édition française a reçu le Grand Prix de l’Imaginaire et le prix Bob Morane.
En 2009, Ian McDonald a rassemblé, sous le titre La petite déesse, les sept nouvelles et courts romans qu’il avait écrits sur cette même Inde du futur. On y découvre, souvent par le biais du regard d’enfants, un sous-continent où les hommes sont quatre fois plus nombreux que les femmes, où se côtoient des gens d’une extrême pauvreté, des intelligences artificielles et des stars virtuelles, tous confrontés à des menaces d’un genre nouveau.
La nouvelle éponyme a, elle aussi, été récompensée par le Grand Prix de l’Imaginaire, "L’épouse du djinn" ayant, elle, reçu le prestigieux prix Hugo.