Kochka - 2 Tomes
Scénario: Brrémaud (Frédéric Brémaud) | Dessin: Bruno Duhamel | Western | PDF | French | 115MB
Scénario: Brrémaud (Frédéric Brémaud) | Dessin: Bruno Duhamel | Western | PDF | French | 115MB
Nouvelle-Orléans, en pleine guerre de sécession. Les armées du Sud sont en bien mauvaise posture, prises à revers par la flotte des Yankees du Nord, les fameux “Tuniques bleues”. Sanders Moulinet, fils d’un industriel fournisseur de l’armée, choisit de déserter et de disparaître dans les bayous. Les services de l’anti-désertion se lancent à ses trousses, mais pas pour le tuer, juste pour toucher la prime extorquée à son père, soucieux de sauver l’honneur familial… et les affaires qui s’y rapportent. Attaqué par les crocodiles, Sanders ne doit son salut qu’à l’intervention du chasseur Eoin et de la mystérieuse Michka.
Kochka - 1. Nouvelle-Orléans 1862 (2003)
Pendant la guerre de sécession, le soldat Moulinet, fils d'un riche planteur de caoutchouc, décide qu'il en a assez de la guerre et déserte. Il est donc bien sûr recherché en tant que déserteur. Les hommes chargés de sa capture proposent à son riche père de ne pas ternir la réputation de la famille et de l'exploitation, et, moyennant finance, de lui ramener son fils et d'oublier sa faute. Pendant ce temps, ledit fils, un peu perdu dans les marais, tombe sur deux fugitifs, la jolie Michka et l'infirme mais très vaillant Eoïn. Leurs relations sont quelque peu... tendues. Toujours pendant ce temps, un "artiste photographe" russe, à la recherche de Michka, assiste au débarquement de forces Nordistes à la Nouvelle-Orléans. Un mystérieux chat l'accompagne...
Kochka - 2. Mambo (2004)
Je n’ai jamais eu de père… Quand j’étais môme je vivais seul avec ma mère. J’avais cette femme pour moi tout seul et j’étais très heureux d’être celui-là ! Un jour j’ai fait un rêve étrange. Un homme arrivait à la maison et prétendait être mon père. Je le détestais aussitôt et jetais un œil mauvais à ma mère… Le lendemain un autre homme frappait à la porte et se présentait lui aussi comme étant mon père. Je traitais ma mère de tous les noms et allais me réfugier dans la grange… Quarante jours plus tard, quarante pères étaient venus s’installer à la maison. Je ne savais plus comment regarder ma mère. Je crois que je me suis mis à l’admirer. Ma mère était un trésor d’une valeur inestimable, au lieu d’un père j’avais quarante voleurs. Depuis tout le monde m’appelle Ali Baba. Je suis le plus grand marchand d’esclaves de ce coin-ci du Mississipi…
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