Dufaux & Griffo - Giacomo C. - Complet

Apparue dans les pages du mensuel Vécu, Giacomo C. est l'une des séries emblématiques de la BD historique popularisée par l'éditeur Glénat. Dans le cadre enchanteur de la Venise du XVIIIe siècle, Giacomo C. affiche son goût de l'aventure et son pouvoir de séduction.




: Meurtre sur la lagune... Venise la ténébreuse, Venise l'éternelle se teinte de sang ! Dans une ruelle obscure, un homme est assassiné. Au même moment, une femme est mutilée. Puis d'autres... Le meurtrier laisse toujours la même marque : leurs bouches sont effroyablement déchirées... Le libertin et romantique Giacomo C. va se retrouver plongé au cœur d'une cruelle machination et enquêter pour résoudre cette série de crimes... : En plein cœur de la Venise du XVIIIème siècle, Giacomo louvoie entre les espions, les brigands, les nobles et la police secrète, tirant bénéfice de chacun. Ce grand libertin perce d'un sourire le cœur des femmes et d'un coup d'épée celui des hommes. Dans le brouillard des petits matins, la ville de Venise masque son véritable visage.




: Le marquis de San Vere fait à nouveau appel à Giacomo C. pour enquêter sur un mystérieux joueur de cartes qui dévalise les grandes fortunes de la noblesse vénitienne... Bien que Giacomo tente de noyer son chagrin dans l’alcool pour oublier la mort de son aimée, il reprend un peu goût à la vie en relevant le défi de démasquer et de battre cet impressionnant Sir Winter. : Parmeno, bravache, buveur, menteur et accessoirement valet de Giacomo C., vit les plus belles heures de sa vie. Finies les tâches subalternes, place aux fastes des fêtes galantes, au plaisir de parader vêtu de somptueux habits, à la joie de posséder argent, pouvoir, et de se voir nommer par tous Duc de Totto... Mais derrière ce qui ressemble à un conte de fées se trame, à mots feutrés, une insidieuse machination où le pauvre Parmeno risque à tout moment de perdre les plaisirs de la vie...




: Parmeno, bravache, buveur, menteur et accessoirement valet de Giacomo C., vit les plus belles heures de sa vie. Finies les tâches subalternes, place aux fastes des fêtes galantes, au plaisir de parader vêtu de somptueux habits, à la joie de posséder argent, pouvoir, et de se voir nommer par tous Duc de Totto... Mais derrière ce qui ressemble à un conte de fées se trame, à mots feutrés, une insidieuse machination où le pauvre Parmeno risque à tout moment de perdre les plaisirs de la vie... Et la belle cousine Costanza, nièce du prince Fosca et femme parmi les femmes, n'avoue-t-elle pas un faible prononcé pour ce nouveau riche aux manières si déroutantes ?... : Parmeno, victime d'une manipulation, s'était soudain cru noble et riche, privant de valet Monsieur de C. Mais le complot fut dévoilé et son infortune ressuscita. Seul vestige de ce moment de grâce, la bague des Fosca que le prince lui avait confiée, le pensant son héritier. Or cette bague appartient désormais à la République de Venise, et le doge compte bien récupérer le joyau. Mais Parmeno prévoit déjà de le vendre, ce qui lui vaut capture et emprisonnement dans les geôles de la cité. Pire, la question l'attend entre les mains radicales de Fra Melampo, moine dont la réputation suffit à semer la panique. Pour sauver son valet, Giacomo se lance alors à la recherche du bijou, déjouant au passage pièges et manigances.




: Angelina, agent de renseignements au service de San Vere, paye bien âprement le fait d'avoir jeté l'horrible Fra Melampo dans un gouffre tandis qu'il s'acharnait sur Parmeno. Défendue par un avocat pitoyable, ses chances d'échapper à la pendaison son bien minces... Hélas, les ressources nécessaires pour s'offrir les services de l'homme de loi font cruellement défaut à Giacomo ! Aussi offre-t-il à San Vere d'employer ses talents pour résoudre une mystérieuse série de crimes qui frappe Venise. Toutes les victimes subissent le même sort : strangulations et langues arrachées. De plus, sur un papier enfoncé dans la gorge, apparaissent deux initiales Une course contre l'argent et le temps emporte Giacomo dans un tourbillon d'intrigues et de charme ! : A la demande du Marquis, Giacomo et son fidèle Parmeno cherchent à confondre l'assassin qui fait trembler Venise. Seul indice, les lettres du mot " ANGELINA " que le meurtrier abandonne dans la bouche de ses victimes. Angelina, qui est enfermée dans un sombre cachot en attendant d'être pendue. Giacomo, qui doit affronter les avances d'Elvira, un laideron fortuné, tente l'impossible pour sauver son amie. Qui est cet homme que l'on dit tordu et qui émet un bruit de bois lorsqu'il parle ?




: Un complot se met en place pour assassiner l'ingénieur Ferracina, l'homme chargé de la restauration de la célèbre Horloge de Rainieri, à Venise. Projetés au cœur de l'affaire, Giacomo et son fidèle Parmeno vont découvrir que l'un des conspirateurs n'est autre que le vicomte Sarastri, un des familiers du doge... : "Chaque heure blesse, la dernière tue !" Un adage qui ne s'applique pas à l'horloge de Rainerie dont chaque son de cloche semble indiquer une mort... La curiosité insatiable de monsieur de C. l'a conduit à s'intéresser à la réfection de la plus célèbre horloge de Venise et à mettre le doigt dans l'engrenage d'un complot aux multiples ressorts ! Qui a intérêt à empêcher la modernisation du vieux mécanisme ? Quel secret se cache entre ces roues dentées ? Pour l'instant le balancier de l'aventure n'est guère favorable à notre héros mais gardons espoir... Sa dernière heure n'a pas encore sonné !




: Cette onzième aventure du libre-penseur libertin, nous entraîne dans une sombre histoire de chantage autour de lettres compromettantes qu'un maître chanteur menace de divulguer à la ville entière si les riches notables concernés ne font pas montre d'une grande générosité à son égard... En plein cœur de la Venise du XVIIIe siècle, Giacomo, inséparable de son fidèle valet Parmeno, louvoie entre les espions, les brigands, les nobles et la police secrète, tirant bénéfice de chacun. Dans le brouillard des petits matins, la ville de Venise nous dévoile son véritable visage. : Tout commence par un duel à l'épée entre une belle comédienne, la Fiammina et le Prince Floriano di Gazzi. Le traité établi est simple: si le Prince désarme ou touche la Fiammina, elle lui appartiendra pour 10 jours, de corps et d'esprit. En revanche, si la demoiselle désarme le Prince, il renonce à poursuivre la troupe de la Fiammina. Mais, sans pitié aucune et dès le premier coup d'épée, elle tue froidement le jeune Prince. C'est sa manière à elle de repousser les prétendants. Courtisée, elle se défend, pour le plus grand malheur de ses soupirants. A Venise, les notables s'inquiètent. Il faudrait trouver une lame assez fine pour vaincre cette fille. Un gentilhomme qui apprécie les femmes. Où trouver un tel homme ? Au bordel !




: « J'ai donc un père, une mère, une sœur, un passé... Dieu ! La vie me paraissait plus légère avant... » En croisant la route de la Fiammina, Giacomo C. se découvre un passé, une histoire, dont il ignorait l'existence. Il va être le premier à la battre en duel, mais il lui laissera la vie sauve. Plus que cela même, il ira jusqu'à s'unir charnellement avec elle, pour ensuite lui avouer la terrible vérité : elle est sa demi-sœur. Ensemble, ils partiront sur les traces de leur famille, à la recherche de leur mère... : Désargenté, le pauvre Giacomo C. ne parvient plus à entretenir sa maîtresse du moment. Pour lui venir en aide, son fidèle valet Parmeno accepte de devenir garde du corps d'une jeune fille très riche, en passe de se marier. Le salaire est très correct... C'est alors que Giacomo se fait agresser en pleine rue par un jeune noble aussi fier que riche et désagréable. Giacomo jure de se venger, même s'il ne sait pas encore comment... Mais lorsqu'il apprend que cet individu n'est autre que le futur époux de Flavia, la protégée de Parmeno, un plan des plus machiavéliques germe alors dans le cerveau malin de notre beau séducteur...




Venise. Place de splendeurs et de ténèbres, de satins et de guenilles. Clé de voûte d'une société portée par la poésie et la philosophie, mais surtout gangrenée par le pouvoir, les intrigues, la jalousie. Nul besoin de présenter encore Monsieur de C, illustre séducteur de ces dames, en perpétuelle quête de liberté et d'argent ! Le voilà cependant la proie de son plus tenace ennemi, le marquis San Vere. Leur ultime affrontement fera de Venise le théâtre troublant d'une traque sans répit, déchaînement de toutes les passions. Canaux sinueux, palais somptueux et recoins sinistres trembleront du courroux des maris cocus et des palpitations ardentes des cœurs de leurs femmes. Mais la noblesse d'âme de Giacomo soulèvera plus terriblement encore la plèbe croupissante et rampante. A la surprise et à la rage de San Vere, éveillant chez lui d'autant plus de rancœur et de détermination.







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